De la Haute-Garonne au Tibet, de Miquelon au Vermont
Message de service : la newsletter Nourritures terrestres est arrêtée depuis l’an dernier. Vous pouvez me lire à la place dans La Lettre de Trois degrés : dans la trajectoire à + 3° C où le monde est embarqué, nous cherchons, avec Antoine Poincaré avec qui j’ai fondé l’initiative Trois degrés, à raconter, expliquer, donner du sens à ce qui (nous) arrive, pour aider à se projeter et se préparer aux bouleversements climatiques.
Tour d’horizon des derniers numéros parus :
Les “mesures éponges” pour lutter contre les inondations et les sécheresses : de quoi parle-t-on ? Quel(s) intérêt(s) ? Comment ça marche ? Quels points de vigilance ? Entretien avec deux scientifiques du CNRS qui travaillent sur un projet grandeur nature de “mesures éponges” en Haute-Garonne, main dans la main avec des agriculteurs, municipalités et autres acteurs locaux.
Depuis plusieurs années, la Chine cherche à détourner une partie de la mousson indienne pour irriguer le nord de son pays. Sa manœuvre : l’ensemencement de nuages pour faire pleuvoir sur le plateau tibétain (véritable château d’eau de la région et pensé comme centre de contrôle hydrique régional), afin que, par le système de canaux ou par les fleuves, l’eau remonte vers la plaine du nord.
—> Les explications de Marine de Guglielmo Weber, chercheuse à l’Institut de Recherche Stratégique de l’École Militaire (IRSEM) :
A Saint-Pierre-et-Miquelon, est menée depuis quelques années une démarche d’adaptation climatique décrite par de nombreux acteurs comme « novatrice », « exemplaire », « emblématique », « inédite ». L’une des raisons de s’y intéresser : sa dimension participative. A découvrir dans ce numéro :
Dans le nord-est des Etats-Unis, l’histoire d’un comté du Vermont, un temps vu comme un “refuge climatique”, sert de cadre à une fable moderne dont plusieurs leçons importantes doivent être tirées. A découvrir ici :
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On s’y retrouve ?
A bientôt peut-être,
Clément Jeanneau